PLFSS 2026 : inquiétudes autour de l’avenir de la médecine de ville
Le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2026 suscite de fortes inquiétudes concernant la place du médecin dans le système de soins. Plusieurs mesures envisagées pourraient restreindre la liberté d’installation, renforcer les obligations de prescription encadrée et modifier le rôle du médecin traitant. Les représentants de la profession alertent sur un risque de rupture du pacte de confiance entre soignants, patients et institutions, ainsi que sur un affaiblissement de l’attractivité de l’exercice libéral.
Taxe exceptionnelle sur les complémentaires santé
Le PLFSS 2026 prévoit une contribution exceptionnelle d’un milliard d’euros prélevée sur les organismes de complémentaire santé afin de soutenir les finances de l’Assurance maladie. Cette mesure, présentée comme temporaire, est contestée par les mutuelles qui estiment qu’elle pourrait entraîner une hausse des cotisations pour les assurés. Le débat se concentre sur l’équilibre entre solidarités publiques et privées dans le financement des soins.
Injections de toxine botulinique : nouveaux signaux d’alerte
La semaine écoulée révèle l’apparition de trois nouveaux cas graves de botulisme en France liés à des injections illégales de toxine botulinique, selon les autorités sanitaires. Les patients, ayant subi des procédures réalisées par des personnes non habilitées, ont présenté des symptômes sévères tels que des difficultés respiratoires nécessitant une hospitalisation en soins intensifs. L’ANSM rappelle que ces injections doivent exclusivement être réalisées par des professionnels de santé qualifiés, avec un médicament autorisé et dans un cadre médicalisé.
PFAS : renforcement de la surveillance environnementale
La semaine écoulée révèle l’apparition de trois nouveaux cas graves de botulisme en France liés à des injections illégales de toxine botulinique, selon les autorités sanitaires. Les patients, ayant subi des procédures réalisées par des personnes non habilitées, ont présenté des symptômes sévères tels que des difficultés respiratoires nécessitant une hospitalisation en soins intensifs. L’ANSM rappelle que ces injections doivent exclusivement être réalisées par des professionnels de santé qualifiés, avec un médicament autorisé et dans un cadre médicalisé.
Santé mentale des étudiants : vers un accès simplifié aux soins
Face à la dégradation marquée de la santé mentale des étudiants, avec un doublement des indicateurs de malaise en dix ans, Philippe Baptiste, ministre de l’Enseignement supérieur, annonce la mise en place d’un portail unique multimédia pour centraliser et coordonner les dispositifs d’aide. Selon les données, environ un tiers des jeunes de 11 à 24 ans présentent des signes de troubles anxieux ou dépressifs, ce qui met en lumière la précarité, l’isolement et d’autres facteurs de risque derrière cette urgence.
